À côté des métiers conventionnels auxquels nous sommes habitués, il existe des fonctions qui sont peu ou pas connues du tout ! Il y a même des jobs dont on ne soupçonne même pas l’existence, des métiers dont on ne comprend pas toujours l’utilité. Mais, aussi étonnants soient-ils, ce sont des métiers réels et qui, dans la majorité des cas, rapportent.

Le sexeur de poussins

Le rôle du sexeur consiste à déterminer le sexe des poussins. C’est un travail sérieux, puisque pour devenir sexeur, il faut suivre une formation pendant une année. Un métier sérieux donc, mais méconnu et parfois moqué. Lorsque les sexeurs entament des démarches administratives, auprès des banques ou des sociétés d’assurances, leurs interlocuteurs ne les prennent pas souvent au sérieux. En tout cas, ce métier existe depuis des années, mais TF1 est la seule chaîne qui en a parlé, et cela, il y a plus de 10 ans.

Le pirate informatique

Ce métier est évidemment illégal, mais il rapporte (salaire annuel compris entre 22 000 et 115 000 euros par ans !). Ces geeks passent le plus clair de leur temps à lancer des virus ou installer à distance et à votre insu des logiciels espions.

Les fabricants et les relayeurs de fake news

Ces geeks reproduisent à l’identique les sites de médias mainstream. Cette pratique prend toute son ampleur pendant les campagnes électorales. Ainsi, les rumeurs sur les prétendus comptes offshores du candidat Emmanuel Macron se sont propagées à partir d’une plateforme qui ressemblait en tous points au site officiel du quotidien belge Le Soir. De même, la réplique du logo d’ABC News a donné une crédibilité à un article qui prétendait que des gens auraient été payés 3 500 dollars chacun pour manifester contre Donald Trump pendant la campagne de 2016…

Les plongeurs ramasseurs de balles de golf

Ce métier est pour le moins dangereux. Ces ramasseurs de balles plongent en effet dans des eaux qui contiennent le plus souvent des produits chimiques. Des serpents et parfois des alligators se trouvent aussi au fond.

Des gens font la queue à votre place

Si vous n’avez pas le temps ou l’énergie pour rester debout des heures à attendre l’ouverture d’un magasin, c’est à ces personnes qu’il vous faut vous tourner. Elles sont aussi sollicitées pour acheter des tickets de spectacle (concert, première d’un film…).

Les renifleurs d’aisselles

Pour évaluer l’efficacité de leurs déodorants, les fabricants font appellent à des gens qui ont pour mission de suer le plus possible. Après viennent les renifleurs pour déterminer si les nouvelles formules de déodorants peuvent satisfaire la clientèle.

Les demoiselles d’honneur

C’est sans doute le métier insolite le plus connu et qui surprend le moins. Certains couples font appel à des demoiselles d’honneur professionnelles. Le salaire est compris entre 270 et 1 800 euros par mariage. Il y a trois critères essentiels : être libre les samedis, avoir une jolie silhouette et un beau sourire.

Les mannequins dans les vitrines des magasins

Le but est évidemment d’attirer l’attention des passants, de les inciter à acheter les articles en vente. Les mannequins peuvent gagner jusqu’à 90 euros par heure pour rester immobiles dans des vitrines pendant toute la journée.

Les testeurs de nourritures pour animaux

Beaucoup trouvent ce job dégoûtant. Mais, quoi que l’on en pense, cela rapporte, puisque ces goûteurs professionnels gagnent environ 35 000 euros par an.

Des membres de staff technique bizarroïdes

Lorsqu’un politique (Premier ministre, président de région…) est en déplacement, le staff technique prépare la salle où il va prononcer son discours. Et, dans ce staff, il y a toujours un militaire qui, en tenue de cérémonie, s’entraîne à soulever un truc invisible pour on ne sait quelles raisons. Ensuite, il a un monsieur ou une dame qui fait des va-et-vient sur l’estrade, toujours la tête baissée. La personne inspecterait-elle la présence éventuelle de fourmis ou d’insectes ? Vous avez aussi le gars qui s’entraîne à applaudir sur toutes les chaises réservées aux invités… L’on ne sait pas combien ces gens sont payés, mais surtout, l’on ne comprend pas ce qu’ils font.