Les mots qu’un bon entrepreneur ne prononcera jamais

post
Les mots qu’un bon entrepreneur ne prononcera jamais

Avant de pouvoir lister ces mots qu’on ne devrait pas entendre d’un bon entrepreneur, il est plus sage de définir cette personne.

Un « bon » entrepreneur

En l’occurrence, la notion de « bon » peut être subjective. Mais on en conviendra, un bon entrepreneur est une personne qui connaît (ou qui connaîtra) le succès en affaire. Il s’agit d’une personne qui sait créer de la valeur (chiffre d’affaires, nombre de clients, taux de satisfaction…), en reconnaissant et saisissant une opportunité de son environnement. Steve Jobs et Marc Zückerberg sont les hommes d’affaires les plus connus au monde ces dernières années, devenus incontestablement des modèles de la réussite en affaires. Mais, sauf  via un bel héritage ou un coup de chance aux jeux de hasard, une telle fortune et un tel succès ne se gagnent pas en un jour.

Tu dis, donc tu es

En effet, on ne naît pas avec l’esprit entrepreneurial. L’expérience acquise avec le temps et le travail permet de l’acquérir. Quoi qu’il en soit, certains attitudes et traits de caractère sont nécessaires pour devenir un « bon entrepreneur ».

Par conséquent, certains mots et leur champ lexical sont à éviter. Car ils sont le reflet d’un comportement d’un perdant et d’un lâche. Logiquement, l’entrepreneur aura de la cohérence dans ses paroles, dans sa façon d’agir et de penser. Posséder certaines qualités bannira instinctivement certains mots du vocabulaire de l’homme d’affaires.

Voici une liste non exhaustive de ces mots :

–          « J’abandonne » : en tête de liste, cette expression est le premier signe de manque de détermination. Un bon entrepreneur devrait posséder une bonne dose de patience. En effet, il est rare de trouver profit dès les premiers essais en affaire. Savoir accepter les échecs et se relever est l’attitude à avoir.

–          « Impossible » : ex aequo avec la précédente, un bon entrepreneur devra le rayer de son dictionnaire. Par conséquent, il ne devrait pas avoir peur de prendre des risques. De la même façon qu’il doit constamment être positif. L’optimisme, même face à un échec, est primordial pour réussir en affaires.

–          « Destin, chance ». Prononcer ces mots reviendrait à attendre que les choses se fassent elles-mêmes. Or, un bon entrepreneur doit « créer » se propres chances, provoquer les choses et en assumer toutes les conséquences, bonnes ou mauvaises.

–          « Ce n’est pas ma faute » : un bon entrepreneur devra assumer tout ce qui se passe dans son projet. Même s’il n’est pas en charge de toutes les actions, en tant que leader, il doit savoir prendre sa part de responsabilité. Prononcer cette phrase porterait à croire qu’il ne maîtrise ni ses faits ni ceux de son équipe ; ou qu’il présente une faille dans son organisation, ce qui n’est pas porteur dans les affaires.

–          « pourquoi faire internet ? » (*ou toute autre innovation) : les affaires du troisième millénaire obligent à être à l’affût de toutes les nouveautés technologiques. Se mettre à l’écart et ignorer toutes ces innovations revient à se fermer à l’évolution. Un bon entrepreneur devrait pourtant pouvoir améliorer constamment son projet, en s’aidant de son environnement.

La liste pourrait être longue. Après, il est sûr que connaître un succès en affaires ne repose pas que sur des compétences techniques ! Il doit également être dynamique, ambitieux, sociable, diplomate, et avoir le sens de l’organisation.