Top 4 des attitudes les plus agaçantes des employés

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Top 4 des attitudes les plus agaçantes des employés

Dans la vie de tous les jours comme dans une entreprise, il existe des attitudes énervantes pour ne pas dire, insupportables. Bien qu’ils n’appellent pas nécessairement à des sanctions drastiques, les retards, la paresse, l’insubordination, sont des comportements qui peuvent frustrer plus d’un employeur. Si vous êtes chef d’entreprise ou responsable des ressources humaines, grâce à ce billet, vous vous sentirez moins seul… Si vous êtes employé, voici les 4 attitudes à éviter !

 

#1 – Le réveil n’a pas sonné

Il peut arriver à tout le monde d’arriver en retard, pour différentes raisons. Mais il faut reconnaître que pour certains collaborateurs, le retard est devenu une seconde nature. Un salarié qui arrive tous les jours en retard, même avec une bonne excuse à chaque fois, ne peut être considéré comme sérieux par les employeurs. Et curieusement, ce sont ces mêmes éternels retardataires qui sont les premiers à quitter les lieux dès que sonne l’heure de sortir… Croyez-le, les responsables ont autre chose à faire que de répéter tout le temps que les horaires sont les mêmes pour tout le monde. C’est au salarié de décider s’il veut conserver ou non son emploi, car les retards à répétition peuvent à l’usure exaspérer les supérieurs et lui coûter la peine capitale : le renvoi !

 

#2 – J’ne peux pas venir, j’ai choppé la crève

S’il y a un comportement encore plus agaçant que les retards, c’est bien les absences injustifiées (les retardataires eux, sont quand même venus faire acte de présence). Et ceux qui daignent justifier leurs absences une fois sur trois par des maladies de type gastroentérite, rhume ou grippe, le font généralement sans certificat médical. Logique, ils étaient si mal, qu’ils n’ont pas pu se rendre chez le médecin. Et comme par hasard, ces absences se répètent les lundis et vendredis : bringue du week-end pour une gueule de bois le lundi matin. Dans les meilleurs des cas, l’employé est soumis à une demande d’explication et s’en sort avec un avertissement. Dans le pire des scénarios, une mise à pied ou un renvoi n’est pas à exclure…

 

#3 – Ce n’est pas pour vous couper la parole, mais…

En revanche, certains employés sont des spécialistes de la « justification ». Si un superviseur reprend son collaborateur sur une erreur qu’il a faite, il est important que celui-ci l’écoute, prenne du recul pour comprendre ce qu’on lui reproche. Ce n’est pas productif de vouloir se justifier à tout prix. Les exécutants doivent garder en tête que les reproches sont destinés à améliorer leur travail. Ce type de profil est très souvent doublé du spécialiste des « bonnes idées », ceux qui ont un avis sur tout, se plaignent de tout et contestent tout. Avoir des idées, c’est bien. Mais choisir le bon moment pour les exposer, sans interrompre les autres, c’est encore mieux. Même s’il arrive aussi que certains employeurs s’acharnent un peu, ou aiment s’écouter parler, écouter, s’exprimer posément et échanger des points de vue avec courtoisie reste beaucoup plus productif qu’un ping pong verbal.

 

#4 – Ni vus, ni connus

Il existe des salariés très malins qui ne travaillent pas du tout ou presque, mais qui savent rester très discrets. La paresse de ces employés nuit grandement à la productivité du groupe ou du département. En général, ceux-ci passent une grande partie de leurs heures de travail à surfer sur internet, jouer à des jeux en ligne ou regarder des vidéos. L’ingéniosité de ces paresseux, c’est qu’ils paraissent tout le temps occupés. Il est donc difficile de les identifier. La solution est de demander à chaque employé les tâches qu’ils ont effectuées pendant leur journée tout en vérifiant leur productivité respective. Cependant, il faut bien séparer les employés lents des employés paresseux. En effet, la lenteur ne signifie pas que l’employé ne travaille pas.

 

Et vous quels sont les attitudes des employés qui vous insupportent le plus ?